Ici, des valises vides offertes par des quidams et mises à disposition des migrants. Là, des restaurants de fortune, fermés depuis que la justice a validé l’expulsion des commerces du camp. Au milieu, des associations qui ne baissent pas les bras et tentent d’anticiper le suivi des personnes. Dans la « jungle » de Calais, chacun prépare fébrilement le démantèlement annoncé.
Textes : Catherine Monnet
Portfolio réalisé avec Mediapart